Un jour tu m’as raconté ce vide, infini, en toi…
Tu as comparé ton cœur aux feuilles qui chutent,
Et j’ai compris que plus aucun printemps ne réussirait à lui redonner de la couleur…
Un jour tu m’as raconté ce vide, infini, en toi…
Tu as comparé ton cœur aux feuilles qui chutent,
Et j’ai compris que plus aucun printemps ne réussirait à lui redonner de la couleur…